Témoignages Chlorella

Lyme Cachée

  • Articulations
  • Métaux lourds

Sollicité, en 2001, par un médecin Écossais pour enseigner l’homéopathie dans un sanctuaire catholique Kanak, je me rends au Vanuatu (à côté de la nouvelle Calédonie). A la fin de mon séjour, plutôt que de me faire payer mes honoraires, je lui demande de me mettre en relation avec un guérisseur kanak.
Deux jours plus tard, accompagné d’un jeune guide, nous partons à sa rencontre, à travers la forêt vierge. Après une bonne heure de marche, je fais une chute sans gravité. A notre arrivée, un homme nous accueille chaleureusement. C’est Marcel, notre guérisseur. Il pose son regard sur mon tibia, et y découvre une banale écorchure.
Il me met aussitôt en garde : « Tu es tombé sur un sentier jonché de débris de corail de feu. Quand on n’est pas immunisé, la bactérie peut provoquer de graves infections »
Deux jours plus tard, ma petite écorchure se met à rougir, à prendre la forme d’une étoile avec des pourtours de branches très réguliers, puis à suppurer. Comme me l’avait conseillé Marcel, mon guérisseur, je la nettoie avec un citron vert.
Ma jambe avait doublé de volume.

Au 10ème jour, je décide de rentrer chez moi, en Suisse. Par précaution, à Nouméa, je prends des antibiotiques avant de m’envoler pour l’Europe.
Après 3 jours de traitement, je constate un léger mieux avant que cela ne reparte de plus belle. A mon domicile, j’utilise mes propres produits: des doses de pyrogénium (auto lysat) dans des dilutions successives. L’amélioration est brève. Le lendemain, la jambe a quadruplé de volume.

Je contacte un ami chirurgien suisse: «Si tu viens me voir, ça doit être sérieux» me dit-il.
Au cours de la consultation, il se retire avec ses deux collègues et quelques minutes plus tard, il préconise l’amputation de ma jambe pour éviter une septicémie, sachant qu’un antibiogramme aurait pris trop de temps. Je lui suggère de me donner l’antibiotique le plus adéquat, puis je rentre chez moi.

Pour la 1ère fois, je m’intéresse aux huiles essentielles qui ont des vertus antiseptiques. Je me masse abondamment avec ces huiles et j’en absorbe quelques gouttes, à raison de 3 fois par jour, après les avoir montées en dilution pour obtenir certaines huiles dans la 1ere dilution décimale et 3ème décimale (là on reste encore dans la phyto). Après 10 jours de traitement, le résultat est spectaculaire: l’écoulement de pus cesse et la plaie se referme.

«AFFAIRE CLASSEE»

Deux ans plus tard, je retourne au Vanuatu pour poursuivre mon enseignement en homéopathie. Après une semaine de séjour, je constate une rougeur sur mon tibia et la réapparition d’une plaie suppurante en forme d’étoile (la même qu’il y a 2 ans auparavant).
Je la nettoie avec du citron, comme me l’avait conseillé Marcel 2 ans plut tôt. Elle se referme définitivement.
Il aura fallu que je revienne dans ce biotope du Vanuatu pour produire des anticorps contre cette bactérie qui nous est étrangère à nous européens.
J’ai une conviction: notre système immunitaire se construit en fonction du biotope dans lequel on vit». Un constat qui, 15 ans plus tard m’aidera à me soigner de la maladie de Lyme, et à comprendre pourquoi, j’ai eu du mal à venir à bout de cette infection sur ma jambe, en effet j’étais déjà envahi de spirochètes. La morsure avec son auréole contractée en Normandie, région où je me suis installé pour ma retraite, est celle qui a tout déclenchée.

Un matin, en mai 2015: LE CHOC!!! La partie gauche de mon visage est complètement affaissée et paralysée. Pensant à un AVC, je prends de l’aspirine dans l’attente d’une consultation. Après 2 jours d’observation (scanner, doppler, analyses de sang et j’en passe….) la cause de ma paralysie reste inconnue. Je rentre chez moi. Et au fil des jours, je retrouve progressivement la sensibilité de mon visage sans aucune intervention ni traitement.

Trois mois plus tard, revient la même paralysie mais de l’autre côté du visage.
Je me souviens avoir été piqué 6 mois avant par une tique sur le bras gauche. Je l’ai enlevée, comme d’habitude, sans y attacher plus d’importance,car,en effet, depuis mon enfance, je me faisais piquer 2 à 3 fois par an sans grandes conséquences. Mais quelques jours après l’avoir retirée, j’ai apperçu une auréole et ressentis de fortes démangeaisons et douleurs.
Je sollicite un ami chirurgien suisse pour qu’il intervienne auprès d’un neurologue et obtenir une ponction lombaire. Je suis hospitalisé. Les résultats révèlent que j’ai développé des anticorps contre cette bactérie depuis fort longtemps. Mon appréhension se confirme: je suis atteint de la «borréliose» ou maladie de Lyme.
On me soumet à un traitement antibiotique intraveineux. «le ceftriaxon», à raison de 2 perfusions par jour: traitement préconisé par le Dr Horowitz qui prend la précaution de faire signer une décharge aux patients à cause des effets secondaires très importants. De fait, le lendemain, ma tension est montée à 17.

En tant que naturopathe, je décide de me soigner seul.
Après avoir signé une décharge, je quitte l’établissement et j’interromps mon traitement.

Une recherche sur mon passé sanitaire me révèle que j’ai été piqué par des tiques régulièrement depuis l’âge de 12 ans. Je comprends mieux alors, mes infections rénales et les douleurs inexpliquées à répétition (mal au dos, douleurs dans la nuque, gonflement des articulations, souffle court, palpitations cardiaques, difficultés à uriner, crampes dans les jambes, douleurs dans les genoux, perte d’équilibre, perte de mémoire troubles de la vue, difficulté de concentration pour allez au bout d’un projet, je sautais d’une idée à l’autre, à la moindre contrariété, des colères disproportionnées, à ne plus pouvoir me raisonner). Mes visites répétées chez le médecin restent sans effets.

Je me suis appuyé sur des recherches médicales et scientifiques françaises, anglaises, allemandes et américaines pour constater qu’aucun traitement n’est convaincant.
Mon expérience m’a amené à penser qu’il faut traiter «un malade» et non «une maladie».
Chaque patient doit avoir son traitement adapté, bien ciblé et très individuel, en commençant par son «remède de tempérament» du moment, mais qui peut être modifié tout au long de la vie.

Et d’ailleurs, je souhaiterais m’attarder un instant sur l’importance du remède de tempérament, surtout chez une personne atteinte par «la borréliose». C’est l’ensemble des réactions physico-chimiques du malade qui déterminent un certain nombre de symptômes dont l’ensemble indique le remède «simillimum». Il est à remarquer que les symptômes mentaux prennent une grande importance dans la détermination de ce simillimum.
Le remède de fond doit toujours être administré à des dilutions très élevées, de 1000 à 50000K (dilutions Korsakovienne)
D’après mon expérience, on peut traiter la «borréliose» avec l’homéopathie, la phytothérapie, Surtout les huiles essentielles comme l’Origan, la Canelle, les oligoéléments, l’organothérapie et les «nosodes» (substances pathologiques secrétées et ensuite prélevées sur le patient malade non traité), le sauna pour ceux qui n’ont pas une insuffisance cardiaque et les bactéries intestinales avec par exemple du choux lactofermenté. Et surtout de la Chlorella impérativement pour tout ce qui est métaux lourds et autres toxines. ( Attention à la qualité de celle ci).
Un terrain sain, c’est aussi la nourriture et donc les probiotiques (nourriture à base de choucroute, kéfir, ananas fermenté, kimchi, etc…).
A noter également que les traumatismes physiques ou psychiques font barrage à l’énergie qui circule. Ils permettent ainsi à la maladie de s’installer.
On peut traiter la «borréliose» sans pour autant systématiquement guérir à chaque fois définitivement.
Dès les 1ers symptômes (apparition de l’auréole), l’association des antibiotiques (impératif) et des huiles essentielles est le meilleur compromis.
Lorsqu’il y a atteinte neurologique (3ème degré comme moi), le traitement antibiotique n’a plus aucun effet, si ce n’est des effets secondaires.
Le fonctionnement des huiles essentielles est différent des antibiotiques parce qu’elles détruisent la structure entière de la bactérie. Il y a deux plantes avec leur substance médicinale que je préconiserai pratiquement dans chaque protocole de soin : c’est la renouée du japon. Mais c’est surtout la berbérine,très importante, sous différentes formes et différentes concentrations selon l’état du malade. Suivant la concentration, cela peut faire office de draineur hépato-reinal ou de vasodilatateur et de régulateur en cas de glycémie. La spyrochète déteste le terrain modifié par ces deux plantes. Je suis étonné des résultats très positif de la berbérine, ce qui me fait dire qu’on est loin de tout connaître sur ses bienfaits pour lutter contre cette borréliose (berbérine qui est extraite de la plante Berberis Aristata, que je préfère. Attention ! Très peu de labos en produisent au delà de 97% de Bérbérine et sans additifs)
Autre traitement très efficace que j’utilise également : Le dyoxyde de chlore et le dimethylsulfoxide , dont je m’attarderais dans son utilisation dans un autre exposé.
La résistance et l’accoutumance se font envers l’antibiotique parce qu’il est fabriqué en général avec 1 ou 2 molécules alors que les huiles essentielles en ont des milliers. La composition des huiles essentielles doit se faire en fonction de chaque malade (exemple: la giroflée ne convient pas à une personne qui a de la tension).
Il faut savoir aussi, que la bactérie n’est pas la même selon le pays ou la région et que le traitement peut varier selon l’âge de la personne et l’ancienneté de la morsure.
Le patient doit être à l’écoute de ses réactions pendant le traitement: on peut parfois modifier les dilutions et suspendre certains produits (huiles essentielles)à cause des réactions de Jarisch-Herxheimer. Après la destruction de ces bactéries, on utilisera différentes serrapeptases (il existe différentes serrapeptases, personnellement je préfère les enzymes prélevées dans les intestins des verres à soie) pour détruire ce biofilm afin de tuer les bactéries qui restent, faire les deux en même temps serait trop violent et insupportable.
Ces réactions sont provoquées par la destruction des bactéries, il faut savoir aussi que cette bactérie hélicoïdale possède une sorte d’ intelligence, car quand certaines se sentent attaquées, elles secrètent une substance pour se protéger qu’on appelle le biofilm. La bactérie peut rester enkystée et inactive des années dans différentes partie du corps (cela peut-être principalement dans le cerveau, dans les yeux ou principalement dans les articulations, et quand votre système immunitaire est en perte de vitesse, ou à l’occasion d’un grand stresse et également par un choc physique elle se réveille, se libère et reprend son action de destruction dans n’importe quelle partie du corps, en ne provocant toujours pas d’infection. Malheureusement, la pluspart du temps cette maladie est accompagnée de différentes co-infections, comme par exemple le Mycoplasma pneumo ou Lanaplasmose granulocitaire humaine aussi transmis par les tiques et font partie des maladies vectorielles, et seront également traitées aux antibio…

Étant donné que ces traitements naturels ne sont pas remboursés, il est important de savoir qu’il faut compter entre 500€ et 1200€ par an pour les produits indispensables au traitement. En effet, ces produits proviennent souvent de différent pays, France, Suisse, Belgique, Allemagne, Autriche, États-Unis….)
Ma passion pour la médecine naturelle m’a amené à voyager à travers le monde dès l’âge de 20 ans.
J’ai rencontré différentes tribus et nombreux guérisseurs et découvert toutes ces plantes médicinales dont on ne connaît pas encore tous les bienfaits. (il est préférable de prendre les plantes médicinales de sa région, dans le biotop dans lequel on vit) Cela m’a beaucoup aidé à comprendre le fonctionnement du système immunitaire parce que, dans le fond, c’est principalement de cela qu’il s’agit.

Aujourd’hui, proche des 80 ans.
Je ne ressens plus aucuns symptômes décrit précédemment. Je remonte à cheval sans problèmes, je voyage énormément à travers les continents avec ma moto, mes articulations ont dégonflées, j’ai retrouvé de la souplesse et je n’ai plus de douleurs.

«Grâce à mes soins naturels, je me sens rajeunis »

Que les personnes gravement atteintes par la maladie de Lyme gardent espoir. La médecine naturelle peut les amener sur la voie de la guérison, ou, du moins, à un mieux-être.

En espérant, à travers mon témoignage, pouvoir aider certain à élucider leurs problèmes de santé. Le système de diagnostic officiel (western blood et Elisa) à été volontairement étaloné par les Américain, et n’est absolument pas fiable, beaucoup de personnes sont négatives aux différents tests sanguins, aussi beaucoup ne savent pas qu’ils sont atteints par la borréliose et autre coinfections.
La particularité de cette maladie, c’est quelle imite plus de deux cents cinquante pathologies différentes, comme la polyarthrite rhumatisante, arthrite, palpitations cardiaques, souffle court, gonflements et douleurs articulaires, dépression, insomnie, tension etc…, et c’est bien là, la grosse difficulté du dépistage !!!
«On ne parle bien que de ce que l’on a vécu».
Ces piqûres peuvent se transmettre par les tiques, les taons (vient d’être confirmé par des biologistes allemand) araignées et moustiques. Sexuellement n’est pas toujours automatique. Aujourd’hui ,comme nous l’avons dit précédemment,cette maladie imite plus de 250 Symptômes
1.Douleurs

  1. Rougeurs au niveau de la piqûre ou érythème migrant
  2. Rougeurs ou boutons sur d’autres endroits du corps
  3. Douleurs articulaires (genou, poignet, doigts, coude, hanche…)
  4. Orteils et pieds gonflés
  5. Douleurs aux chevilles, au talon d’Achille
  6. Sensation de brûlures sous les pieds ou aux mains
  7. Crampes au pied
  8. Accès de fièvre, de transpiration ou frissons
  9. Douleurs musculaires et crampes, difficulté à marcher
  10. Fatigue, épuisement, manque d’endurance
  11. Perte de cheveux anormale
  12. Inflammation de glandes
  13. Mal à la gorge
  14. Douleurs au pelvis ou aux testicules
  15. Menstruations irrégulières
  16. Seins douloureux, production de lait (lactation)
  17. Troubles de la vessie et de la fonction urinaire
  18. Troubles de la libido
  19. Estomac irritable et sensible
  20. Troubles de la fonction intestinale(constipation, diarrhée)
  21. Douleurs dans la poitrine et les côtes
  22. Souffle court, toux
  23. Palpitations cardiaques, extrasystoles, arythmie…
  24. Douleurs et/ou inflammations des articulations (arthrite)
  25. Raideurs/craquements de la nuque, du cou et du dos
  26. Lancements ou douleurs lancinantes dans les muscles
  27. Picotements, engourdissements
  28. Tremblements d’un ou de plusieurs membres, sans effort ou après effort
  29. Douleur dans les mâchoires, les dents ou/et à la mastication
  30. Tics nerveux au visage, à la paupière
  31. Paralysie faciale
  32. Yeux/vision: double, trouble, douleurs, perceptions d’objets volants
  33. Oreilles/ouïe: bourdonnements, sifflements, acouphènes, douleurs
  34. Étourdissements, perte de l’équilibre, mal de mer accru
  35. Cerveau pas clair, qui a du mal à fonctionner
  36. Mal à la tête
  37. Confusion mentale
  38. Difficultés pour penser (pensée confuse), se concentrer et lire
  39. Perte de mémoire à court terme et oublis
  40. Problèmes d’orientation: se perdre ou aller là où on ne voulait pas
  41. Problèmes pour écrire, dysorthographie, et/ou pour parler
  42. Dépression, irritabilité, humeur changeante sans raison
  43. Troubles du sommeil: trop, pas assez, se réveiller la nuit ou trop tôt
  44. L’alcool provoque des effets renforcés
  45. Changement de poids (perte ou gain) inexpliqué
  46. Sensations de poinçonnement sur l’abdomen, le dos
  47. Problèmes pour déglutir
  48. Illusions sensorielles
  49. Gestes imprécis (type : « laisser échapper un verre »)
  50. Fasciculations dans les muscles (soubresauts des muscles, comme les chevaux)
  51. Essoufflement, souffle court
  52. douleurs dans les mollets
  53. Polyarthrite rumathoïde ( même symptomes)
  54. Endométriose ( agravée par la boréliose)
    J’indique que le quart des symptômes

A.S

( je suis à la disposition pour tous renseignements auprès de personnes qui pratiquent déjà la médecine naturelle pour eux même, et qui ont compris que la nourriture la plus saine possible, le plus naturelle possible, est impérative. Je ne veux convaincre personne ,mais seulement par cette voie là, on a une chance d’atteindre un résultat positif. Je suis en mesure de vous dire entre 5 et 10 minutes si vous êtes atteint de cette maladie ou pas )

Antoine, 30 juin 2025
Note de l’équipe eChlorial
Nous tenons à souligner que les personnes interviewées ou qui témoignent sur notre blog le font en toute sincérité sans aucun conflit d’intérêt.

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